Il y a quelques semaines, on m’a contacté pour me proposer de réaliser une video de test d’un nouveau site internet. Je me suis dit que c’était l’occasion rêvée de se lancer avec une deadline qui allait m’obliger à me bouger rapidement. Parce qu’en prenant ça comme un défi, je sais que je vais m’obliger à tout faire pour obtenir le résultat attendu.
Et ça marché, j’ai trouvé de l’aide pour la technique, écrit un rapide scénario, réfléchis aux plans de coupe que je voulais, et j’ai même filmé certains plans ! Je me suis amusée et c’était beaucoup moins compliquée que je ne l’avais imaginé (tout comme le tuto beauté que je teste dans la video d’ailleurs, …vous verrez).
Du coup, mon envie de faire des vidéos est décuplé mais maintenant je sais que je pourrai y arriver. En fait, j’adore faire ça : dire oui à un projet qui me fait sortir de ma zone de confort et exploiter à fond mon côté « mauvaise perdante » qui va tout faire pour y arriver.
J’ai plusieurs exemples :
- je me suis inscrite à une course running juste parce que je savais qu’il était inimaginable que je ne franchisse pas la ligne d’arrivée et que cela m’obligerait à courir des mois avant pour m’entraîner #foldingue
- Il y a eu aussi cette fois où j’ai dit « oui » à Marjorie qui me proposait de rejoindre l’équipe Filles with color (le site a malheureusement disparu depuis) et de partager un dessin à colorier chaque mois, alors que je ne sais pas vraiment dessiné (malgré toutes les raisons qui me poussaient à dire non).
- ou encore la fois où j’ai dit oui à Etsy pour travailler pour eux alors que parler anglais m’angoissait. Etsy, boîte dans laquelle je travaille depuis plus de 5 ans quand même ! (et qui est certainement le meilleur boulot salarié que je peux imaginer – comme quoi j’ai bien ait de dire oui ^__^)
Si je regarde en arrière, c’est d’ailleurs le fait d’avoir dit « oui » à des projets dont je ne me sentais pas forcément les épaules qui m’a permis d’avancer. Et si, dans les articles de développement personnel, on parle souvent de savoir dire non, je pense qu’il fait aussi apprendre à oser dire plus souvent oui, ce qui m’amène à mon second point.
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