La chanson grivoise laisse généralement peu de place au sentiment et s’accoquine plutôt avec un vocabulaire aussi fin que celui de J.C., mon cousin routier. Mais, en coquine délicate, Colette Renard chante les plaisirs féminins tout en finesse et classe. Chaque phrase est une douceur qui se savoure avec délice et laisse l’auditeur étonné de tant d’inventivité. Et malgré des paroles on ne peut plus explicites, Colette arrive à ne pas paraitre vulgaire.
Je vous laisse apprécier (oreilles prudes s’abstenir) :
Et sinon, écoutez la reprise en anglais de 0dot1 (oui, un peu de pub pour la grenouille aka electrofrog ne fait pas de mal).
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