Cette remarque de mon copain, je l’ai plutôt mal prise. A tort ?
Avant, tout était simple. Un « t’es très Bernadette, aujourd’hui ? », et c’était la rupture. Parce que s’il croyait qu’on allait se la jouer potiche à sac à main, ramasseuse de pièces jaunes et bobonne-tue-l’amour à la maison, c’était pas la peine de continuer.
Mais aujourd’hui, un jour de manque d’inspiration, on enfile un jean, un petit pull en maille et des ballerines (un brin classique certes, mais sans faute de goût), et ni une ni deux, il vous catalogue fille du 9-2 qui se lève tôt, réplique de la première dame de France, BCBG en santiags et robe Prada. Dur… non ?
En tout cas, il est prévenu, « mon petit Nicolas », pour cette fois, je reste, mais au prochain faux pas, je serai candidate à la rupture tranquille.