Alors, à la fin, Harry Potter …

Qui n’a jamais subi un petit malin qui dévoile la fin du film alors que vous attendez dans la file du cinéma ? Quoi de plus tentant décevant que de lire le dernier chapitre d’un livre pour en connaître plus vite la fin ?

Intentionnel ou pas, connaître la fin d’une histoire – avant de connaître l’histoire elle-même – s’avère toujours très frustrant (je peux le confirmer). Pourtant, on le fait tous (non ?) un jour ou l’autre. Trop de suspense ? Une attente qui devient anxiogène ? On n’en peux plus. Le héros va t’il mourrir ? Non, ce n’est pas possible, ce serait trop horrible. On file rapidement, les mains moites, à la fin du livre pour lire le dernier mot, la dernière phrase, le dernier paragraphe et déjà on regrette.

Par contre, des fois, on aimerait bien connaître la fin. Combien de fois, par exemple, j’ai râté la fin d’un film, en piquant du nez avant le générique ? En règle générale, d’ailleurs, ce n’est pas un bon signe pour le film. On se dit alors qu’on ne reverra jamais cette histoire soporiphique et donc qu’on ne connaîtra jamais la fin. Heureusement pour moi, Eric a créé un blog intitulé la fin du film et explique qu’à la fin, il devient gentil, il meurt, il gagne, il sauve le monde, ils finissent par baiser ou que c’est plus ou moins la fin du monde.

Et au fait, à la fin de « Harry Potter and the deathly Hallows », en fait Harry, il … Non mais je rêve, vous croyez quoi ? (Et si vous lisez cette phrase en premier, je ne vous félicite pas !)